Volontairement pragmatique, notre méthodologie cherche toujours à intégrer :

  • La mise en perspective des situations, questions ou zones d’inconfort,
  • Des réflexions constructives et l’émergence de nouvelles hypothèses de travail,
  • La proposition d’outils pratiques,
  • Le retour d’expériences,
  • La possibilité de se remettre en question dans un cadre bienveillant.

Un code de déontologie de base fixe les règles et les principes qui servent de référence aux intervenants du STICS. Il détermine la conduite, les devoirs et l’éthique professionnelle qui doivent prévaloir dans la fonction de l’intervenant, à savoir :

La confidentialité

Le contenu d’une supervision appartient aux participants durant et au-delà de la fin du cycle. Les membres du groupe ou la personne concernée peuvent décider de relayer certaines réflexions au pouvoir organisateur en accord avec l’ensemble.

La responsabilité

Les participants sont garants des choix et actes posés durant et dans la suite des supervisions.

Les règles de fonctionnement

Le superviseur veille à favoriser l’expression de l’ensemble des personnes, d’être dans une position de non jugement et dans un climat de respect mutuel ainsi que favoriser son soutien.

La position de tiers neutre

L’extériorité de l’intervenant est nécessaire à la confiance et à la neutralité de l’espace de supervision.

La place du bénéficiaire

La qualité de services offerts au bénéficiaire est une préoccupation centrale. Elle est une source d’évolution et de motivation. Les bénéfices directs ou indirects pour l’usager constituent un pilier de la supervision.

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